Fais-moi mal avec ta queue disait celle-là
Et j’adorais
baiser avec elle, ça me retournait
Le ventre
et le cœur et la tête, mon sang
bouillonnait
des tripes au cerveau
Les Dieux et les Déesses
savent
comme j’aimais m’enfoncer
En elle.
Quand elle s’oubliait ou
suppliait,
chacun
de ses cris était
une
offrande, ma récompense
Si
l’amour n’existe pas,
Il nous
revient de s’en fabriquer
un
et
souvent pendant qu’on baisait
Je m’imaginais prendre un
couteau
et m’inciser le bras pour
Lui faire gouter mon sang tout
en la prenant
car
Je suis sincèrement persuadé
que la (vraie) passion doit
ressembler à quelque chose
comme
ça
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