Tes lèvres
parfaites n’ont fait qu’effleurer
Les miennes
Mais déjà,
et meme avant, je savais
Que le
soldat rendrait les armes
Et je ne
sais si je pourrai
te parler
de mes poumons
Brulés
Par l’amour,
De la
douleur à chaque inspiration
Mais sache
que mes larmes sont mortes
mes yeux
sont secs
Et si mon âme
erre encore la nuit
Dans la
démence
je te le
jure
Je n’attends
pas de toi que tu
me
Sauves,
mais si
Une
nouvelle fois, l’envie
te prenait
De t’approcher
plus près
Alors sans
doute que je laisserai
Se déployer
mes ailes
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire