On ne devrait jamais laisser
personne
nous
bouffer le Coeur
Et
l’âme, mais les règles sont les mêmes pour
Chacun
d’entre nous
Et
à ce jeu, j’ai déjà perdu les batailles
Et
toutes les guerres
et
c’est dimanche
Et
j’ai mal de l’alcool des derniers jours
et
la jolie fille n’est pas venu, et une autre
a
souri
seulement,
je
suis dingue et je n’ai rien à offrir
hier,
maladroite
marionnette,
je
dansais accroché au corps
glacé
d’un verre rempli
d’une
Mort cruelle,
et
ce soir je sais à nouveau
la
vérité
qu’importe
sa folie,
on prend gout à la solitude à rester
allongé
dans le silence,
j’observe
le vent et la nuit à la dérobée
et
le
vent est comme
un
peu d’amour et
la
nuit
est
comme une amie,
Puis
je pense à cette bouche aux lèvres pâles
je
pourrai plaquer le corps qui la porte
contre
un
mur de béton sale et laisser les flammes dévorer
sa
peau et son regard, mais l’espoir
est
inutile,
le
refrain jamais
ne
change, seules
les
ombres nous rattrapent et nous
enlacent
dans les ténèbres brûlent les damnés
de
chaque brûlure nait un cri,
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