Il y a la
réalité et la folie,
Quelque
chose de triste dans
Chacun de
nos regards,
tu rêves
d’une autre vie,
Quelque
chose de magique,
Des grands
murs et des grandes vitres,
De l’eau
bleu javel dans un carré de béton,
Des
armoires remplies de parures
chatoyantes
pour illuminer tes jours,
Sombres pour habiller tes nuits,
Et
peut-être que d’un autre amour
Tu couvres
tes songes,
Et moi
Je suis là,
Je ne sais
que te dire,
Je sais
tout ce que tu ressens
Et cette
angoisse au fond de ma gorge,
Tout cet
amour,
Et cette
incapacité
À tout
changer
Et te
perdre
Tu sais bébé… la mer c’est loin…
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire