Tu
étais celle qui disais que toujours
Tu
serais mon amie,
Mais
bien sur tu es grande
Et
tu as ton amour
Et
tu n’es pas là,
Tu
n’appelles meme pas pour prendre
Des
nouvelles,
Bien
sur que je sais, que la dernière
Fois,
Tu
m’as trouvé un peu trop fou,
Je
prend un peu de place
Et
je ne suis pas très fin
Avec
mes gros sabots de bois
Qui
résonnent sur les carrelages en marbre
Et
je ne donne pas l’impression
De
vouloir m’en sortir,
De
chercher à changer
Mais
j’écris mieux que jamais,
Ok,
je ne suis pas écrivain
Et
je ne donne pas l’espoir
De
me voir publier un livre
Un
jour,
Ni
meme devenir riche,
De
quelques manière que ce soit,
Et
sans doute que je finirais
Fou
seul et abandonné, mais
Tu
sais,
Je
sais que je te dois la vie
Et
que chacun de mes pas,
T’appartient,
alors
Ce
n’est pas grave,
Prend
ton temps,
Tu
peux tout te permettre avec moi,
Meme
de ne pas revenir,
Mème
de m’oublier à tout jamais,
Je
n’aurais jamais la force de detester,
Et
tu es déjà toute pardonnée
(souviens t’en si je tombe avant
l’heure,
toute
pardonnée car il n’y a rien à pardonner)
Et
tu as plutôt intérêt à vivre ta vie,
Dévorer
chaque seconde, comme si c’était
la
dernière, t’emerveiller de
chaque
instant, comme si c’était le premier
si
tu ne veux pas que je me pointe, (vivant
ou
mort peu importe)
pour
botter ton cul de lesbienne
car
c’est ainsi, je sais
que
chaque sourire sur mon visage
est
à toi depuis toutes ces nuits
où
tu tenais ma tête hors de l’eau
quand
l’acide de la folie noyait mes poumons
et
mon âme
et
donc, je veux juste que tu saches,
que tu me manques petite pute
avec tes yeux marrons verts, ton
absence de poitrine et ton caractère
qui peut parfois se reveler plus
merdique
qu’une soirée sans vodka, ni jolies
filles
tu me manques vraiment
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