dimanche 17 octobre 2010

Une allumette enflammée dans un baril de poudre

Ton joli cul et ta manière de le bouger
Sont comme une allumette enflammée dans un baril de poudre

Mais je connais les filles comme toi
Leur folie
Ce qui les brûle

Je pourrai te prendre aussi fort que je veux
Autant de fois que je veux
Il me suffira d’être dur
Et
Fou
Et
Furieux

Mais si jamais
Un soir
Je m’allonge pour pleurer dans tes
bras
Alors je te perdrai
Dans la seconde qui suivra la première larme.
Tu essuieras l’eau sur mes joues et ce sera un mensonge
Puis tu disparaitras au petit matin,
Me laissant les souvenirs
Une boite de capotes à moitié vide
Une trace de rouge à lèvres sur ma peau
Les regrets

Je dois donc me montrer suffisamment fort pour ne pas
T’aimer
me contenter
De te faire jouir du matin au soir
Sans aucun sentiment autre qu’un désir animal et atavique
Alors peut-être aurai-je une chance,
de remporter la
Victoire
De conserver mon
Sourire
Face à ta manière ô combien sensuelle
De remuer ton trop joli
Cul

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