mardi 12 octobre 2010

24 Avril 2004

Tu étais assise dans le jardin et tes cheveux tombaient sur tes épaules quand je suis rentré du travail.

Tu étais belle comme le jour, comme ce soleil qui brillait et j’avais dormi si peu.

Je voulais me jeter à tes pieds te dire que je t’aimais, que j’allais tout changer, nous sortir de ce qui nous étouffait, que tu guérirais et que bientôt les rires nous habilleraient à nouveau de lumière

Mais quelque chose m’a retenu

Cette ombre en toi.

- Je crois que je vais partir as tu fini par dire.

Et ma lente agonie a commencé.

De l’acide dans les veines tandis que ton absence m’écorchait

vif

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