N’oublie
jamais que tu marches seul
quel que soit les promesses
et les
traitrises plantés dans ton dos
peu importe qui te porte
tu finis
toujours seul,
égaré dans un caniveau
ce sont tes
croyances –l’amour les religions l’amitié etc…-
qui te brisent
et tu
voudras te souvenir
et
finalement tu préféreras
oublier
les serments et les
caresses
et aussi
l’espoir
j’ai
regardé cette fille
« j’adorerais lécher tes
seins » ai-je dit
elle a
secoué la tête
ô
mon amour, souviens toi comme je t’ai aimé
ô mon âme sœur, souviens toi quand
tu as glissé
ta culotte
noire dans ma main droite en riant
et mon amour n’est pas
mon âme sœur
la vie est
étrange comme ça
peut-être que cette nuit, une fille
belle comme le jour suivant
écris une
chanson d’amour,
mais ce n’est pas mon prénom qui
rythme le refrain
de
poussière d’étoile je redeviendrais poussière d’étoile
crois en ce
que tu veux,
c’est quand
tu me mords que je suis vivant
n’oublie jamais que tu marches seul
c’est ainsi
c’est comme ça
et quand tu tombes, n’attends pas
qu’on te relève
c’est un coup à crever la gueule
ouverte avec un hameçon dans la joue
je rêve de
mourir alors qu’il me suffirait de rouler si vite que je ne pourrai plus
respirer
et mon cœur battrait
et ton rire serait comme
ce jour où j’ai volé un diamant
et cela me suffirait
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