Je suis fatigué de saigner sans raison
ce mal de vivre qui me tient au cœur
ronge mes chairs et mes tripes.
Toutes ces fois, où je dois me griffer
Me tuer
Pour hurler
Le feu brule et me dévore
je dois souffler dessus
Pour que jamais il ne s’éteigne
Je ne sais si mes anges sont tristes
Mes démons eux,
Dansent la sarabande
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