Juste
après cet étrange pique nique à la lueur des bougies
en
haut d’une montagne d’ou on voyait
les
lumières de la ville et la mer
bien
qu’il n’y ait pas de mer dans cette ville,
ton
corps si bronzé allongé sur
moi
dans
la
voiture…
ta petite culotte rose et tes
baisers…
moi
dingue
dangereux
pour ma propre survie
tu es celle qui me fait regretter
ma
folie
toutes ces nuits
à me détruire avec application
et te voilà, comme si de
rien n’était
comme
si tu pouvais
trouver quelque chose
digne
d’un
peu
d’intérêt
quand le rire de tes yeux se pose
sur moi
et
tout ce qui courre
sous
ma peau
et me ronge
m’éloigne de toi, m’empêche
de
te séduire comme je le devrai
et je voudrais mourir
pas pour disparaître
juste pour renaitre
recoller
mes ailes et tous les autres morceaux
rendre immortelles
toutes les nuits d’été
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