lorsque chacun de vous aura pris
en moi
ce qu’il désire
et qu’il
sera parti
et m’aura laissé seul
il ne
restera rien
en moi
si ce n’est le souvenir
de tous ces moments
où vous
aviez
assez de courage
pour m’aimer
(nos âme et
nos cœurs, si proches)
et
la réminiscence
de chaque moment de joie
me
déchirera
avec l’obstination
d’une lame
de rasoir
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