Je me souviens rarement de mes rêves
mais celui de la nuit dernière, je l'ai encore
je viens de me marier avec une jolie rousse au yeux verts que je ne connais pas dans la vraie vie
celle avec les yeux ouverts
là,
je parle d'un
un mariage genre Las Végas, pris sur un coup de tête, fait dans l'heure mais pas à Las Vegas
(où ? je ne sais pas)
la fille que je n'ai jamais vu,
elle est belle et douce
et il y a deux types que je connais mais que je n'ai pas vu depuis une ou deux décennies
sans doute parce que je les appréciais moyen
et que la réciproque était vraie
l'un d'eux est nu, avec un micro pénis
ma jeune et jolie nouvelle femme le branle. Pas pour lui faire plaisir, juste par
curiosité car elle n'a jamais tripoté une bite aussi petite.
elle en rit et je comprends pourquoi je viens de l'épouser
je lui dis, je t'offre un plan à trois pour ta nuit de noces ? choisis, tu veux une fille ou un mec ?
elle choisit un mec, je ne peux pas gagner à tous les coups.
j'accepte
je l'aime à la folie mais j'accepte de la partager avec un autre
et elle choisit le second mec.
bon,
ces deux gars, je ne les appréciais pas plus que ça. et j'aurais préféré qu'elle se décide pour un
troisième,
qui est pas loin dans mon rêve.
Dans la réalité, lui et moi,
on avait fini au petit matin, dans son appartement, avec une pote à moi,
bisexuelle accompagnée de son ancienne colocataire.
Les deux filles n'avaient pas couché ensemble à l'époque de leur collocation et histoire
de mettre fin à la tension sexuelle qui flamboyait entre leurs deux corps
elles avaient commencé à se bouffer
la chatte sur le plancher
à ce moment là, j'avais négligemment glissé ma queue dans la bouche de ma pote,
laquelle s'était mise à me sucer au lieu de m'envoyer chier
je vois ça comme une définition de l'opportunisme
une autre fois, en boite, toujours avec ce pote et
toujours dans la réalité, une blonde de mème pas 19 ans me dit qu'elle ne couchera avec moi que
quand mes cheveux auront repoussé et mon ventre fondu. On est en boite de nuit, je pourrai
être son père mais je m'en fiche, elle est blonde, très jolie, peu de poitrine, ça aussi, je m'en
fous, je ne devrais pas le savoir mais ses lèvres sont douces et elle embrasse très bien, ses jambes
sont fines et interminables.
J'éclate de rire, je dis que pour les cheveux je ne peux rien faire
mais je la tourne doucement, et pose mon bide de vieux pervers dans la courbure de ses reins.
- regarde, c'est fait pile pour s'emboiter, quand je vais t'enculer, tu n'auras pas mal aux lombaires
Je dis ça en riant, avec mon air insolent, pas comme un gros lourd violeur.
Bon, ok, lu comme ça, ça fait gros lourd violeur, mais elle me connait. Elle sait que je suis dingue
mais pas dangereux pour elle. Néammoins, sa manière de me mettre la misère mérite une réponse
adéquate, histoire de rester le fils de pute que je veux être
alors j'oublie l'alcool dans mon sang vicié et je
parle...
parle comme certaines femmes aiment qu'on leur parle sans que pour autant, elles laissent
n'importe quel connard dans mon genre leur parler.
Je lui explique avec mes mots, mon sourire ironique et mon regard fou
que je connais ses fantasmes et ce qu'elle aime rien qu'en la regardant,
je cite ses fantasmes, enfin ceux que je crois qu'elle a, et je fais mouche.
Pour finir, je lui dis qu'elle va venir avec nous, moi et mon pote, et qu'on va coucher ensemble
tous les trois
parce qu'elle rêve de le faire avec deux mecs qui vont la traiter comme une petite chienne,
et quitte à ce qu'elle réalise son fantasme, autant que ce soit avec deux gars qu'elle
connait, sont discrets et
SURTOUT
qui vont arrêter si jamais quelque chose ne lui convient pas.
j'avoue être le premier surpris quand elle
accepte.
Mon pote est le deuxième surpris quand je lui explique qu'on va chez lui
pour partouzer la blonde sans poitrine mais avec des jambes incroyablement
longues
il habite à dix minutes à pied, j'ai négocié pour deux heures de sexe, on a le temps
de revenir avant la fermeture de la boite pour récupérer nos blousons, ce qui était
somme toute
la principale inquiétude de la blonde
Mon pote
il lui faut quelques secondes pour comprendre que ça va vraiment arriver,
mais pas plus, la blonde est vraiment très belle. on décide de se casser tous les trois
en catimini
bien sur,
il y a un long escalier avant de sortir de la boite de nuit et
c'est juste quand on arrive en bas que sa meilleure amie la rappelle en hurlant.
- Ne pars pas avec eux, c'est des fous !!
bon, la mème fille a un jour tenue ma queue dans une ruelle pendant que pissais parce-qu'elle voulait
savoir ce que ça faisait, est sortie avec mon pote, le second du duo de fous, et en ce temps-là avec
constance
elle ruine tous mes coups
comme ça
gratuitement
dès qu'elle me voit discuter avec une autre fille.
raison pour laquelle que je voulais à tout prix l'éviter car je savais qu'elle ruinerait le plan
et ça n'a pas manqué
pour couronner le tout, six mois plus tard, elle se disputera avec celle qu'elle empêche
de nous suivre, et pour autant que je sache, elles ne se sont pas reparlées depuis.
avec mon pote,
On n'a jamais partouzé la blonde aux jambes interminables.
Ça s'est joué à un 1m50 de la rue.
le seul avantage, c'est que quelques mois après, j'ai rencontré chez des amis communs la
jumelle de la blonde
quand
je lui ai dit que je connaissais sa frangine, elle a demandé avec l'air inquisiteur,
Qu'as tu fait avec ma sœur ? (question due à ma réputation de pornographe pervers)
j'ai répondu rien !
et
je n'ai pas menti.
bon j'ai passé sous silence les quelques fois où elle m'avait laissé fourrer ma langue dans sa bouche, mais
est-ce que ça compte vraiment ?
après tout, elle et moi, on s'aimait bien, elle avait droit à son jardin secret non ? embrasser
sur la bouche quelqu'un de (beaucoup) plus vieux, ça arrive à plein de gens
ce qui compte, c'est que les deux soient des adultes consentants.
la première fois que je l'avais vue
elle était déguisée en hôtesse de l'air, avec un mini-short et des collant qui mettaient en valeur ses jambes
interminables
j'avais affirmé que je souhaitais épiler ces longues jambes, elle s'était marrée et m'avait expliqué ensuite
à quel point les hommes de sa vie étaient des salauds, j'avais promis de lui apprendre à les faire
ramper et histoire de tenir parole je lui avais rappelée à quel point elle était sublime pour que plus jamais
elle
ne puisse croire un type qui essaierait de la convaincre du contraire ainsi que tout le pouvoir
que lui procurait au moins jusqu'à la ménopause, sa beauté .
assez de digressions
il est temps de revenir à mon rêve bizarre de la nuit dernière, donc
ma jeune épousée ne veux pas de mon pote, mais de l'autre gars, celui qui est habillé et que je n'ai pas vu
depuis longtemps
dans la réalité, il était réputé pour avoir une bite énorme, et dans les bras
de Morphée
pas effrayé par la concurrence d'un sexe plus gros que le mien, ni par
le fait que je n'apprécie pas vraiment ce type,
je dis OK, c'est mon cadeau
(un homme amoureux doit être capable de ça)
et à lui, je demande
tu viens faire un plan à 3 avec nous pour notre nuit de noces ?
Je crois qu'il accepte mais je me réveille avant de jouir dans mon sommeil
(Parfois, la vie est merdique mème quand on dort)
la morale de tout ça, c'est que si nos rêves sont le reflet de nos vies parallèles, il existe quelque part un
monde où je suis marié et heureux avec une fausse rousse aux yeux vert, bisexuelle et adepte
de plans à trois que je sais tendre et rieuse
avec des regards pour moi remplis d'une infinie douceur, ce qui sur le papier
sonne comme le paradis sur terre.
Mais au réveil et dans cette vie là, la seule reflexion qui me vient à l'esprit est une question simple
induite par l'étrangeté de mes songes nocturnes
Putain, quelqu'un peut-il me filer le numéro d'un bon psychiatre ?
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire